Travaux Chez L’Oncle Et La Tante De Julien (4): Le Crémage De Magnifique Quadras

Cela fait plus d’une semaine que Julien et moi faisons des petits travaux dans la maison de campagne de l’oncle et la tante de mon pote. En effet, avant de démarrer l’université nous avons décidé de passer Juillet et aout à travailler pour nous payer de belles vacances en septembre et être fin prêt pour la rentrée.

Francis, qui doit retourné travailler dans la semaine, nous rejoint que les week end. Ils nous donne les indications de la suite des travaux et nous files des coups de bains sur tout ce qui est plus technique. Par contre la semaine nous sommes qu’avec Sandrine, sa femme. Avec elle, le boulot et plus calme et surtout plus sexuel.

En effet dans les premiers jours, nous avons profiter de sa plastique pendant une bronzette qui a commencé en bikini et c’est fini par une masturbation pour madame complètement nue. Nous nous sommes mis dans la même tenue pour l’admirer et nous caresser puis nous avons repris le travail. Sauf qu’on avait pas prévu qu’elle nous rejoigne dans la chambre et nous trouve non seulement à poil mais en plus encore en érection.

Du coup elle est restée dans la pièce avec nous et s’est remis à se masturber devant nous et nous a invité à en faire autant. Mais, les jours suivants, la folie sexuelle de la tante de mon pote ne s’est pas arrêter là. Nous passons nous journée tous les 3 à poil, nous nous douchons ensemble et en profitons pour nous branler les uns devant les autres.

Le moment des repas est aussi très chaud, elle nous toise en nous exhibant son sexe, ses gros seins et son cul. Hier c’est allé encore plus loin car elle a même écarté ses lèvres intimes avec les coins de la table pour encore plus nous exposé son intimité. En dessert, elle nous a fait gouté à la meilleur banane de notre vie, car avant de nous la donner, elle s’est amusée à la lécher et sucer comme si c’était une de nos bites.

Mais elle ne s’est pas arrêtée là car elle l’a aussi enfoncée dans sa chatte pour la recouvrir de sa mouille.

Puis, elle nous l’a donné à déguster mais pas comme un simple fruit mais nous ordonner de la sucé comme elle l’a fait juste avant. Intriguée par nos talents de suceur elle a voulu savoir si nous avions déjà fait des fellations à d’autres hommes. Nous avons tous les deux répondu négativement, j’ai menti car j’en avais jamais parlé à Julien et que je voulais pas qu’il l’apprenne ainsi.

Après nous avoir encore chauffé avec son corps dans les escaliers, elle nous abandonne avec nos excitations. Une fois dans la chambre je me suis mis à fouiller dans les cartons de livres et j’ai découvert un énorme stock de magazines sur l’échangisme. Ils sont remplis d’annonce de rencontre mais il y a aussi de belles photos et quelques histoires érotiques.

Ses magazines en main, nous nous branlons jusqu’à la jouissance avant de nous écrouler de fatigue. Je passe la nuit à rêver du corps et des formes généreuse de la tante de mon pote. Je m’imagine même plaqué ma bite dans la raie de son cul pour me masturber. Heureusement avant de jouir, je réalise que ce n’est pas un rêve et que je me frotte aux fesses de Julien et non de sa tante.

Je quitte la chambre rapidement en m’excusant même si mon pote et toujours dans le coaltar. Je file dans notre salle de bain pour reprendre mes esprits et bien me réveiller mais je tombe sur la maitresse de maison. Elle est complètement nue et fouille dans ma trousse de toilette. Je m’excuse d’être rentré ainsi:
« Désolé, je pensais que la salle de bain était libre. »

Sandrine se retourne vers moi, mon rasoir dans sa main et me répond:
« Pas de soucis, en plus tu tombes bien car je voulais te raser l’entrejambe. »
Etonné de son désir, elle m’explique qu’elle ne supporte pas d’avoir des poils dans la bouche. La perspective d’une pipe par cette femme du double de mon âge et très sexuelle, m’attire tellement que je m’approche d’elle.

Elle s’assoit sur les toilettes alors que je me tiens debout devant elle.
Sandrine prend une paire de ciseaux et commence à tout tailler le plus court possible. Ses la première fois que ses mains se posent sur cette partie de mon corps, j’arrive à refréner mon excitation. Elle fait 2 ou 3 allers retour sur a tige raide et ponctue:
« Parfait, comme ça c’est plus facile pour tout enlever. »

Elle prend ma mousse à raser et commence à me badigeonner le pubis mais aussi la bite et les couilles. Sandrine att un de mes rasoirs et commence à le passer sur la crème. Les lames sont très vites bloquées pas les poils, du coup elle les rince régulièrement dans un bol d’eau tiede. Je la regarde faire, très excité par son toucher mais aussi la perspective de la suite.

Après plusieurs passage, il me reste plus un poil, elle a même raser mon périnée. Sa me fait quand même étrange car je m’étais bien habitué à ma toison mais comme ça ma queue me parait encore plus longue. Elle passe sur ma peau lisse un gant humide et je retrouve des sensations oubliées. J’attends, fièrement dressé, qu’elle me suce mais elle me lance:
« Voila, j’ai fini. Maintenant va réveiller ton copain, c’est à son tour. »

Je mets un moment à bredouiller:
« Et ma recompense? »
Elle a un petit rectus coquin et me répond:
« Patience petit! »
Je quitte la salle de bain et retourne dans la chambre. Julien dort à points fermés, comme il est encore tôt je le laisse se reposer encore un peu et m’allonge à côté de lui trop impatient de toucher mon entrejambe lisse.

Comme je demande pas, j’att un des magazines au sol et je me branle en lisant une histoire d’échangisme. La douceur de mon entrejambe nu me surprend positivement. Mon toucher m’excite encore plus que d’habitude, je sens encore plus mes veines et la peau de ma tige. Je me branle de plus en plus énergiquement sans même continuer la lecture.

Sûrement dérangé par les mouvements du matelas que je crée, Julien se retourne. Sa tête est presque au milieu de mon corps et encore endormi, il pose sa main sur ma cuisse à quelques centimètres de mes couilles.
Pour ne pas le réveiller, je bouge aucun de ses doigts et reprends ma branlette mais plus calmement.

Je sais pas si du à l’histoire que j’ai lu ou un homme baise sa femme en même temps qu’il suce la bite d’un mec mais j’ai une idée. Je me décale légèrement pour que la main de mon pote se pose sur mes couilles pendant que je continue de me caresser. C’est peut être du à la peur de me faire prendre ou l’envie de faire des trucs avec Julien depuis un moment mais j’éjacule en quelques secondes.

Mon ami bouge de plus en plus, il commence à se reveiller. Je me dépêche d’essuyer le sperme que je viens d’éjecter quand j’entends Julien me demander:
« Qu’est ce qu’il y a? »
« Tu dois te lever, il faut qu’on s’y mette. »
Il se retourne dans le lit prêt à s’endormir quand je lui dis:
« Ta tante t’attend dans la salle de bain, il faut que tu te bouges. »

Il met un moment à assimiler mes mots et se redresse dans le lit en me demandant:
« C’est l’heure de la douche? »
J’hesite un moment et je finis par le lever, je pointe mes deux index vers mon entrejambe et lui réponds:
« Non, elle veut te faire ça! »
Il reste un moment quoi avant de me lancer:
« Mais pourquoi tu t’s rasé là? »

Je rigole intérieurement et lui raconte pourquoi je me suis laissé faire. J’ai l’impression qu’il hésite à toucher la nouvelle partie glabre de mon corps mais il en fait rien. Je lui confirme que la sensation et le toucher son très agréable. Excité par l’idée de ces nouvelles sensations mais surtout de sentir la bouche de sa tante autour de sa tige, il se dépêche de se lever pour aller la rejoindre dans la salle de bain.

Pendant ce temps, je reprends la lecture des annonces dans les magazines mais je profite aussi des photos qui me font bien bander. Je réalise que je suis vraiment tout autant excité par une belle chatte qu’une bite. Même si je suis en érection, je préfère pas me caresser, je souhaite garder mes forces pour la pipe promise.


Un moment plus tard, Julien revient dans la chambre, même si c’est inutile, il ferme la porte et m’expose son entrejambe lisse en remuant du bassin. Il s’approche de moi toujours en remuant sa bite dans tous les sens. Je lui montre que j’ai vu dans les annonces que plein de mec annonce qu’ils ont le costume 3 pièces complètement rasé, du coup je nous rassure en lui disant:
« Ca doit être la mode en ce moment! »

J’ai l’impression qu’il m’écoute à peine, il se caresse le pubis, les couilles et aussi la tige en me disant:
« J’adore, non seulement c’est super doux mais en plus je ressens encore plus tout! »
Je tends ma main vers lui et lui caresse tout l’entrejambe, il est pas du tout gêné et rajoute même:
« T’as vu c’est génial, non? »
Quand il bande de plus en plus entre mes doigts et que je veux pas aller plus loin et perdre son amitié, je relâche sa tige et lui propose d’aller petit déjeuner.

Une fois le ventre plein nous allons bosser. Sandrine ne vient nous rejoindre de la journée. Le soir pendant notre douche à trois nous espérons que l’heure de la pipe est arrivé mais Sandrine nous annonce qu’elle a pas préciser que la pipe serait pour aujourd’hui. Elle nous laisse trainer comme ça quelques jours.

Le jeudi matin, elle vient nous réveiller en nous disant qu’il faut réajuster le rasage et nous invite à passer ensemble sur la salle de bain. Elle nous explique sa technique en commençant sur le neveu de son mari. Quand elle finit de me rendre, de nouveau, complètement lisse elle nous précise que maintenant nous devons nous le faire l’un l’autre 2 fois par semaine.

Après un déjeuner sur le pouce, nous nous attaquons à reboucher les trous dans l’énorme salon/salle à manger. Il y a en a tellement qu’on va en voir pour plus que l’après midi. Vers 15 heures on entend sonné à la porte puis on voit Sandrine passé entouré d’un peignoir alors que nous sommes à poil. Julien monte vite dans notre chambre nous chercher 2 caleçons.

Quand il revient avec nos sous vêtements, nous voyons passé Sandrine, bras dessus bras dessous, avec une petite brune. Elle se dirige vers le solarium aménagé par la tante de mon pote, nous les suivons du regard. Nous les admirons entièrement se déshabiller sans aucune pudeur. La copine de Sandrine à des seins plus petits mais très appétissant quand même. Son mont de Vénus est aussi épilé mais elle a juste, ce qu’on appelle pas encore, un ticket de métro foncé alors que Sandrine a un triangle blond.

Sandrine sort d’un sa, une crème solaire alors que sa copine (plus tard on apprend qu’elle s’appelle Laetitia) s’allonge sur le dos sur un des deux transat. La blonde met de la crème dans ses mains et commence à l’etaler sur les jambes de sa copine. Ses doigts partent des pied remontent doucement jusqu’à l’aine mais en évitant les points sensibles.

Une fois les jambes bien crémer, elle protège le visage de la brune. Ses mains descendent, ensuite, sur les épaules et les bras de son amie. Ensuite, elle s’occupe de ses magnifique petits seins mais au voix que son toucher n’est pas que pour étaler la crème. Nous bandons de plus en plus dans nos caleçons. Plus les mains de la tante de mon pote descendent sur le ventre de Laetitia plus ma bite se tend.

Je ne vous raconte pas notre état quand on la voit passer ses doigts sur le pubis de la brune. Et encore moins quand ses doigts passent la crème sur les lèvres intimes de son amie. Quand je la vois rentrer son index et son majeur dans la moule de la brune qui commence à se tortiller sur son transat, je plonge ma main pour empoigner ma queue et me branler.

Julien fait comme moi, plus le corps de Laetitia s’excite plus nous accélérons le mouvements de nos mains. Malgré les fenêtres fermées devant nous, nous l’entendons gémir de plus en plus fort. Julien aussi commence à sortir des petits cris et balance plusieurs giclées sur la vitre au même moment où la brune doit jouir. Comme je me suis branlé ce matin, je suis encore loin de la jouissance.

Elles échangent quelques mots et Sandrine se retourne vers nous. Je me dépêches de me remettre au travail alors que Julien cherche un morceau de tissu pour effacer les traces de son orgasme. Sa tante nous appelle de la cuisine:
« Les garçons venez me rejoindre, j’ai une copine à vous présenter. »
Nous nous regardons légèrement étonné puis posons nos instruments pour la rejoindre dans la cuisine.

Elle a déjà disparu alors nous sortons dans le jardin et trouvons ces deux magnifiques quadragénaire, allongées sur le ventre. Sandrine se soulève légèrement et fait les présentation:
« Laetitia, voila le neveu de Francis, Julien et son pote Romain. »
La brune leve le regard et nous observe de la tête au pied. Ne sachant quoi faire, je leur demande:
« Vous avez besoin de quelques chose mesdames? »

Elles se sourient et Sandrine me répond:
« Oui, Mettez nous de la crème dans le dos. Romain tu vas t’occuper de moi et Julien de Laetitia. »
Je m’approche timidement du transat de la blonde, je mets beaucoup de la crème solaire dans ma main et donne le flacon à mon pote. Nous nous regardons, hésitant, ne sachant par où commencer.

Julien étale la creme sur le dos de la brune et commence à le masser ainsi que ses épaules. Je fais comme lui quand Laetitia nous dit:
« Mettez en aussi sur les flancs, on veut pas prendre de coup de soleil. »
Quand mes mains glissent, j’essaye de pousser mes doigts pour titiller les seins de Sandrine. Une fois les côtés de leurs corps protégés, elles se soulève le torse en prenant appuie sur leurs coudes et nous disent que on peut mieux faire.

Sentant mon érection monter, j’hésite pas à passer mes mains et venir caresser les gros seins de Sandrine. Son neveu est beaucoup plus hésitant, plus ses doigts se rapprochent de la poitrine de la brune plus il rougit. J’att dans chacune de mes mains les seins pulpeux de la blonde et commence à les malaxer. Quand mes doigts s’approche de ses tétons, je commence à légèrement le pincer. Elle pousse un petit gémissement et nous lance:
« Maintenant les jambes et les fesses. »

Je quitte à regret sa poitrine mais heureux de bientôt pouvoir toucher son cul. Je remets de la crème dans mes mains et commence à lui enduire les pieds. Julien fait comme moi même pour l’érection. Mes doigts parcourent ses volets avant d’atteindre ses cuisses, je me tends encore plus dans mon caleçon qui devient de plus en plus gênant.

Nous reprenons de la crème, je pose mes mains sur le haut des cuisses de Sandrine, Julien m’imite toujours sur le corps de Laëtitia. Je remonte mes doigts vers ses fesses pour les pétrir doucement. Toutes les deux commencent à gémir. Puis je passe mes index le long du pli qui séparent son cul de ses cuisses pour finalement arriver vers son entrejambe. Elle ouvre ses cuisses pour me laisser un meilleur accès, ma tête commence à bouillir mais ce n’est rien à côté de mon entrejambe.

Mes doigts se rapprochent lentement de la grotte de Sandrine et je finis par toucher ses grandes lèvres déjà bien humides. Je parcours sa vulve de bas en haut puis de haut en bas. Je jette un coup d’oeil sur Julien qui fait exactement les mêmes gestes que moi. Nous nous regardons en nous demandant quelle sera la suite mais la voix de la brune nous interrompt:
« Merci messieurs. Vous pouvez retourner travailler mais on vous attend dans 30 minutes pour l’autre face. »

Decus mais aussi impatient que la demi heure passe, nous nous levons. Les deux femmes nous observent, Sandrine nous dit:
« Vous avez l’air bien trop serré dans vos caleçon. Revenez plus à l’aise tout à l’heure! »
Julien et moi nous dépêchons de rentrer dans la maison pour cacher nos méchantes érections. Une fois dans le salon, nous retournons à la fenêtre les observer.

Elles sont toujours sur le ventre mais se regardent et parlent. alors que je dis à mon pote:
« Je savais pas qu’un érection pouvait faire mal comme ça! »
Je vois qu’il est déjà en train de relâcher la pression. Je lui conseil de pas se branler mais de garder ses forces pour la suite qui s’annonce très chaude…

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